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vous utilisez un navigateur désuet . mettez à jour votre navigateur pour améliorer votre expérience. fribourg – freiburg canton de ponts, de paix, de perspectives brücken, frieden, weitsicht français deutsch fr de chargement... communautés religieuses environnement tradition et modernité ville et campagne communautés linguistiques générations paix entre les communautés religieuses face à la réforme qui s’étendait dans les territoires voisins dès le xvie siècle, fribourg est apparu comme une citadelle catholique. historiquement, le facteur religieux a souvent alimenté des conflits politiques dans l’histoire suisse. l’entrée définitive du district du lac dans le canton de fribourg au xixe siècle marque un jalon dans l’ouverture confessionnelle du canton. aujourd’hui, la guerre du sonderbund et le kulturkampf semblent appartenir à un passé lointain. le dialogue interreligieux entre catholiques, protestants, israélites, et plus récemment musulmans est un ferment du vivre ensemble. parler du fait religieux, créer des espaces de dialogues sont les principaux remparts contre cette ignorance dont se nourrissent les extrémismes. a ce titre, l’enseignement humaniste fribourgeois est un bien précieux. il se nourrit notamment des héritages spirituels des nombreuses congrégations religieuses établies au cours des siècles dans le canton. paix avec l’environnement a l’heure des dérèglements climatiques, de l’épuisement des ressources à l’échelle mondiale, les beaux paysages fribourgeois paraissent dégager une certaine sérénité quelque peu déconcertante. cet équilibre est néanmoins fragile. fribourg a d’ailleurs aussi connu des épisodes douloureux, à l’instar de la contamination des poissons de la sarine par l’ancienne décharge de la pila. respecter l’environnement, c’est aussi respecter les artisans qui contribuent à son entretien. de nos jours, le monde agricole est mis sous pression : les règles du marché affectent non seulement la production agricole, mais aussi les terres agricoles. restaurer un lien plus direct avec la terre est vital. il passe par la reconnaissance de la véritable valeur de l’environnement et de ses fruits. les produits de notre terroir sont reconnus loin à la ronde pour leur qualité. ils méritent que nous préservions les moyens de leur production. paix entre la tradition et la modernité les fribourgeois sont attachés à leur héritage culturel. qui n’a pas chanté, enfant, ne serait-ce qu’une fois le 1er mai? une tradition chorale qui résonne même jusque dans l’enceinte des dragons, avec le ranz des vaches et son fameux lyoba, véritable hymne, entonné d’une seule voix par des supporters venus des quatre coins du canton. des traditions comme la bénichon la saint-nicolas ou le carnaval sont des moments précieux par leur capacité à rassembler les fribourgeois. longtemps considéré à la traîne, le canton a su rattraper son retard en termes d’infrastructures et de qualité de vie. si son attractivité se réalise désormais par le développement de secteurs de pointes, elle le doit en partie à sa capacité à innover en puisant dans ses traditions. celles-ci permettent aux gens de s’ancrer face aux mutations toujours plus rapides du monde. paix entre ville et campagne entre ses préalpes, ses produits du terroir, ou encore ses images d’armailli, fribourg aime souvent à se présenter sous ses atours verdoyants. c’est pourtant vite oublier qu’à la veille de son entrée dans la confédération en 1481, le canton de fribourg souffrait du statut mal vu d’etat-ville. nous devons à saint nicolas de flüe, par ses qualités de conciliateurs, l’entrée de notre canton sans heurts dans la suisse. par son expansion territoriale, puis sa timide industrialisation, fribourg a peu à peu affiché le visage d’un canton agricole. de ville de ponts, fribourg est devenu un canton pont. a l’heure des échanges instantanés, des temps de parcours réduits, de la concentration des activités dans certains pôles urbains, fribourg se doit de préserver un art de vivre où se côtoient et se complètent ville et campagne. l’équilibre ville-campagne constitue un véritable atout, une qualité de vie appréciée, mais aussi un défi. paix entre les communautés linguistiques depuis plus de deux siècles, le canton de fribourg est composé de manière stable de deux tiers de francophones et d’un tiers de germanophones. si la question des langues n’a jamais suscité de conflit majeur dans l’histoire du canton, elle s’est régulièrement invitée dans les discussions. lors de son entrée dans la confédération en 1481, fribourg était le premier canton dont certains bourgeois étaient francophones. ceux-ci germanisèrent vite leur patronyme. l’allemand était ainsi la langue officielle de l’etat sous l’ancien régime. la donne changea avec le vent démocratique de 1798 qui imposa la langue française dans les institutions, souvent aux détriments de l’allemand. aujourd’hui, fribourg a la chance de bénéficier d’une paix entre communautés linguistiques. cette paix des langues se construit de jour en jour ; le bilinguisme en est le principal ferment. hier comme aujourd’hui, cette pratique ne va pas de soi. pourtant, le bilinguisme rapproche les gens, évite les malentendus, élargit l’horizon et apporte une plus-value. il mérite d’être encouragé à tous les niveaux. paix entre les générations fribourg est le canton le plus jeune de suisse. en outre, grâce à ses atouts en termes de formation, le canton attire de nombreux jeunes d’autres régions. cette jeunesse est synonyme de dynamisme. pour qu’elle puisse pleinement s’épanouir, le canton doit veiller à lui offrir des perspectives tant professionnelles, sociales que culturelles. dans un monde de plus en plus individualiste et concurrentiel, les jeunes apparaissent comme une population vulnérable, souvent confrontée au chômage, à des emplois précaires ou à l’endettement. d’autres jeunes, migrants déracinés, espèrent un avenir meilleur sous nos latitudes. il est primordial que les générations qui ont connu la prospérité et le plein emploi fassent preuves de solidarité. elles ne peuvent se détourner de leurs responsabilités dans ce monde en manque de repères et confronté à des défis colossaux. qu’elles sachent offrir de leur temps, transmettre un savoir culturel ou donner à cette jeunesse la chance de faire ses preuves. c’est ainsi que les nouvelles générations pourront encore croire en l’avenir et s’investir dans la société. résidence les epinettes, marly la résidence pour personnes âgées les epinettes accueille des personnes âgées dépendantes physiquement et psychiquement. l’établissement travaille en interaction avec l’établissement scolaire de marly-cité. ainsi des accueils extrascolaires et des visites permettent aux enfants de rencontrer les personnes âgées. de plus, la cafétéria de l’établissement sert des repas de midi accessibles au grand public pour favoriser les interactions entre résidents et visiteurs de toutes les générations. en savoir plus paysage éducatif fribourg-schoenberg la ville de fribourg ainsi que plusieurs acteurs locaux actifs dans l’éducation ont lancé le projet paysage éducatif fribourg-schoenberg afin de répondre à un constat : la collaboration horizontale entre acteurs scolaires, extrascolaires et parents contribue à garantir aux enfants une meilleure éducation. lancée en 2014, cette initiative repose sur trois outils : « café-parent », « ecole plus » et « on a un projet ». en savoir plus senior+ lancée en 2009, la politique senior+ a été mise en place en 2014. elle a pour but, à l’aide de 25 mesures ciblées et concrètes, de favoriser l’autonomie, l’intégration mais aussi les compétences des anciens, en permettant d’améliorer la santé et l’environnement social des seniors fribourgeois. ces mesures permettront, à terme, d’éviter d’isolement de nos seniors et d’assurer la cohésion entre les générations. plan de mesures concept cycle d’orientation de la veveyse – prix cinécivic dans le cadre du concourt cinécivic, le cycle d’orientation de la veveyse à remp